... Si l’association s’occupait déjà, par le passé, de nombreuses
victimes et de quelques agresseurs, le CPCA a permis à Terres à Vivre de se sédentariser,avec ses locaux de l’avenue de Garenne et de changer de dimension notamment avec ses partenariats avec la
justice. « Le centre apporte quelque chose de nouveau pour les auteurs », reprend Élisabeth Perry. « Une prise en charge spécialisée violence par des professionnels formés sur ces sujets-là. » «
Il y a de la bienveillance, mais pas de compassion larmoyante », apprécie
Patricia. Car accompagner les auteurs, ce n’est pas cautionner leurs actes...